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Archives du tag ‘tomates’
Au secours, le mildiou revient! 40 comments
Bizarrement, un plant porte des tomates
Les diverses variétés de tomates que je cultive. 48 comments
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Cela fait plusieurs années que j’en sème
et j’ai essayé tant de semis différents
que je me limite un peu en nombre de variétés maintenant.
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En ce 29 septembre,
il ne reste pas grand-chose sur les plants, évidemment,
mais avec l’été indien que nous avons en ce moment, les fruits continuent à mûrir..
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Je reproduis mes tomates à partir de graines récupérées sur celles de l’année.
j’ai acheté les premières graines chez Kokopelli en général,
ou alors je les ai récupérées sur des fruits achetés.
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Les tomates « potirons » sont de gros fruits dépassant les 600g.
Elles ne deviennent pas rouge vif même très mûres,
mais sont fondantes et juteuses.
On les pèle facilement, ce qui les rend encore meilleures en salade.
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Je taille les plants sévèrement début septembre ,
en enlevant toutes les branches qui ne portent pas de fruits
pour favoriser le grossissement et la maturation de ceux qui sont formés.
En même temps, je surveille les feuilles pour éliminer toutes celles
qui portent la moindre trace de maladie
afin de ne pas contaminer les fruits
(il est trop tard pour traiter à la bouillie bordelaise).
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Les tomates « Ananas » ressemblent un peu aux précédentes,
mais la peau est jaune, lavée de rose, et la chair aussi.
Les fruits sont de taille variable, certains sont très gros.
Elles sont également faciles à peler.
Ce qui les rend particulières et justifie leur nom,
c’est leur parfum acidulé et un peu sucré qui rappelle l’ananas en effet.
Ce sont mes préférées.
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Je les taille comme les « potirons ».
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J’ai surnommé ces tomates « petites productives précoces »
car ce sont leurs caractéristiques.
A l’origine, j’avais des graines de 3 ou 4 variétés de tomates
précoces à cycle court, spéciales pour climats frais, du genre « Tchèque »,
mais je pense qu’elles ont dû s’hybrider entre elles depuis le temps
et je ne savais plus les distinguer,
alors, j’ai tout rassemblé.
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Le goût est frais, agréable, mais pas extraordinaire non plus.
C’est surtout leur précocité qui les rend intéressantes.
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Ce sont des tomates à port « déterminé » : elles produisent une quantité donnée de fruits, puis s’arrêtent.
Les plants sont petits.
Il n’est donc pas nécessaire de les tailler sauf pour éliminer les feuilles malades en fin de saison.
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Les tomates en grappe, tout le monde les connait, comme tomates « cocktail ».
Ce sont de petits fruits juteux à la peau fine,
mais pas très pratiques à faire en salade (trop de jus).
Je les laisse en vue dans la cuisine pour picorer en passant…
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Les plants, de grande taille, produisent de nouvelles ramifications tant qu’il ne fait pas trop froid,
fleurissent et donnent des fruits.
On se retrouve en fin de saison avec une quantité de fruits verts qu’on peut faire en confiture ou au vinaigre.
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Je me souviens comment j’ai obtenu les graines de « cornues des Andes ».
C’était avec des tomates achetées sur un marché de l’île d’Oléron.
Le goût nous avait plu.
Ces tomates sont charnues. je les trouve bonnes en salade ou cuites
et j’en refais tous les ans.
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C’est dommage qu’elles soient assez tardives,
mais avec le temps qu’il fait en ce moment,
elles mûrissent bien tout de même.
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Les « coeurs de boeuf » ne sont plus à présenter,
quoique sous cette désignation, on trouve des variétés assez différentes en vente sur les marchés.
Celles qui ont une forme biscornue de bourse ou de blague à tabac sont assez farineuses,
même cultivées dans son jardin. Je n’en ferai plus.
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Ce sont celles qui ont réellement une forme de coeur qui sont bonnes :
fraiches, fondantes mais assez fermes et faciles à peler.
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Les plants sont sensibles aux maladies,
mais en général, on a tout récolté avant qu’ils ne soient trop malades
et surtout, avant que les fruits ne soient atteints.
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Les tomates « de Berao » sont surnommées « tomates en arbre », mais sous nos climats, ne dépassent pas 1m80.
Elles tiennent des tomates en grappe pour la fuctification,
mais elles rappellent les « Roma » ou les « olivettes »
pour leur forme et leur texture charnue avec peu de jus.
Elles sont assez bonnes en salade, mais surtout intéressantes cuites ou pour faire des sauces.
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Elles continuent de donner des fruits tant que la température n’est pas trop basse.
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Je ne sais plus ce que sont ces tomates.
L’étiquette est effacée et je ne me souviens plus de ce que j’ai pu planter là…
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Elles sont ordinaires en salade et leur forme ronde et régulière
me fait penser aux tomates à farcir qu’on vend sur les marchés.
J’en avais effectivement récupéré des graines
mais je suis déçue.
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Je pense que l’an prochain, je tenterai les tomates vertes qui sont délicieuses
et les noires qui sont très douces.
J’ajouterai des tomates jaunes, très douces aussi.
Ainsi, j’aurai un festival de couleurs!
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Arrachage des plants de tomates en automne 15 comments
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J’ai déjà enlevé le dispositif d’arrosage
automatique et le tuyau perforé
et les ai rangés en serre.
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Il est certain que le murissement des tomates
manque quelque peu de conviction en octobre.
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il me faut ôter les bâches protectrices.
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J’avais mis ces bâches à la plantation des tomates
car j’avais lu que les pluies froides
qui peuvent succéder aux périodes chaudes et orageuses
favorisaient le développement du mildiou.
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En plus, au moindre rayon de soleil,
il fait plutôt bon là-dessous.
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On passe à l’arrachage des plants et des tuteurs.
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Et c’est le grand vide
avant le bêchage d’hiver.
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Dans des bacs à un autre endroit,
j’avais mis des tomates de couleurs diverses :
oranges, jaunes, roses et noires
(les “noires” c’est un peu de l’arnaque…).
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Pour utiliser les tomates mûres qui me restent,
qu’elles soient rouges ou jaunes,
je n’ai pas de souci,
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Mais que vais-je faire de ces tomates vertes?
Oui, je sais : les petites au vinaigre
et les autres en confiture.
J’en ai déjà fait bien sûr,
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mais je trouve que dans la confiture de tomates vertes,
on sent surtout le sucre…
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Coulis de tomates « à la courageuse » et exemple d’utilisation : boulettes de boeuf à la tomate. 12 comments
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Pourquoi
« à la courageuse »? ***
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Parce que,
après avoir soigneusement sélectionné
les tomates les plus mûres,
trop mûres parfois,
on les épépine et on les pèle,
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ce qui laisse d’ailleurs une bonne quantité de résidus
sous forme de peaux, jus et pépins.
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On commence par verser un peu
d’huile d’olive
et mettre un peu de thym et de basilic
dans une cocotte.
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Puis, on y ajoute les tomates épluchées
et on fait fondre pendant une bonne demi-heure.
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Je ne mets ni sel ni poivre dans le coulis.
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Ensuite, on passe au mixer
pour avoir un coulis bien homogène
qu’on stockera dans des boîtes au congélateur
si on ne s’en sert pas tout de suite.
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*** La méthode du coulis « à la paresseuse »
consiste à couper les tomates en morceaux,
les faire cuire de la même façon et
passer au moulin à légumes
quand les tomates ont bien fondu
pour éliminer la peau et les pépins.
On obtient quelque chose très liquide
à cause du jus,
donc qu’il faudra réduire une heure ou deux ensuite.
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Exemple d’utilisation du coulis:
Boulettes de boeuf à la tomate.
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Dans une casserole,
je commence par faire fondre des oignons hachés finement
dans de la margarine.
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J’ajoute ensuite le coulis
et je laisse sur feu doux.
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Je l’assaisonne à ce moment là :
sel, poivre et un peu de piment d’Espelette
(vous pourrez ajouter ce que vous voulez aussi).
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Pour les boulettes:
du steak haché de boeuf,
du sel, du poivre, du paprika et du persil.
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Je forme des boulettes du volume d’une noix.
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Je plonge les boulettes dans le coulis.
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Je cuis à feu doux et à couvert
(la sauce tomate saute partout!).
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Il faut compter 15 minutes à feu doux
pour cette taille de boulettes.
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Quelques minutes avant la fin de la cuisson,
on peut casser un oeuf par personne
sur la préparation
(facultatif).
On obtient des oeufs pochés dans de la tomate.
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En accompagnement, j’ai fait quelques pâtes
(le truc blanc à côté des boulettes,
c’est l’oeuf).
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Plantation des tomates sous abri 13 comments
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J’en étais là
après le montage de l’abri à tomates:
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https://leodamgan.wordpress.com/2009/05/18/montage-dun-abri-a-tomates-en-2009/
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les tomates à planter s’impatientaient.
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J’ai meublé l’abri à tomates
que nous avons fabriqué.
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Les tiges des tomates sont si allongées
et paraissent si fragiles
que je préfère les poser à plat sur le sol.
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Un coup de vent mauvais est vite arrivé.
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Je creuse profond,
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je place le plant et sa motte de terre
dans le trou rempli d’eau
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et je comble de terre après.
Les plants sortent encore de 20 ou 30 cm au dessus du sol.
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Tout l’espace prévu est occupé.
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J’ai planté les variétés suivantes:
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« Tchèques », petites tomates précoces et résistantes au froid,
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« Double Rich », grosses tomates orange foncé très riches en vitamines,
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« Potirons », grosses tomates rouges,
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« Coeur de boeuf », grosses tomates bien rouges à coeur,
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« Ananas », jaunes orangées, au goût frais et légèrement acidulé, mais pas très précoces,
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« Berao », dites ‘tomates en arbre’, mais chez moi, pas si grandes que ça,
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« Summer Cider », je ne sais pas trop, c’est un paquet de graines cadeau du commerçant,
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« Climbing Trip », plants censés atteindre 7 m de haut en régions chaudes, culminent à 2m chez moi. Grosses tomates rose foncé pas très précoces.
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Tomates en grappes dont j’ai perdu le nom, productives,
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Tomates, petites, productives et précoces dont j’ai perdu le nom aussi, voisines des « Tchèques » sans doute.
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Tomates cerises « Christmas ».
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Cela fait 70 plants environ.
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Il me restait des plants.
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Après en avoir mis dans de grands bacs tels que ceux-ci,
ou des grands pots sur la terrasse en plein soleil,
il m’en restait toujours
et les voisins ne sont pas intéressés par les potagers.
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J’ai donc gardé seulement 3 plants par variété comme secours
en cas de problème
et jeté le reste.
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Il est généralement conseillé de planter les tuteurs à tomates
avant de mettre les plants en terre
afin de ne pas blesser leurs racines.
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Mais je mets pas de tuteurs individuels aux tomates,
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Je fais des sortes de barrières en bambous
et j’attache les tomates aux bambous horizontaux
que je déplace en hauteur
au fur et à mesure
de la croissance des plants.
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