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(tentative de réhabilitation).
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Quand on pense à toutes les raisons
que le monde peut parfois nous donner
de nous interroger,
comment réagir?
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Mais il y a des jours ou on ne se pose pas de questions.
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On se cultive au soleil.
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On observe le mouvement des vagues
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tout en se félicitant d’être au frais
sur un bord de mer breton
à l’ombre du parasol.
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On vérifie la capacité de ses yeux à absorber les chocs de couleur.
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On étudie l’activité des tâches solaires
à travers le parasol.
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On se demande tout de même
pourquoi tant de coccinelles s’accrochent au dessous du parasol,
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Au jardin de Mo et Marc 
Du jaune !!! Ca donne envie ! j’veux bien jouer au doriphore sans Pde t ! Merci pour ce contraste 😉
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C’est solaire le jaune et le doryphore a des rayures jaunes, il tombait très bien ce jour-là.
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Je n’ai lu qu’un San Antonio 😦 la couverture de son bouquin est marrante comme doit l’est le titre .. que j’approuve.
Faudrait que je le lise, tiens .
Bronzer est un de mes moindres soucis ( je prends facilement des couleurs ). Je déteste rester longtemps allongée au soleil sans bouger, bronzer connement , un coup coté pile , un coup coté face , me faire griller comme une sardine, attraper des coups de soleil, avoir des cloques …C’est l’enfer pour moi 🙂
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C’est dans la collection « Bouquins ». Il y a 10 romans par tome. J’en suis à l’année 1966.
Tu as la peau très sensible?
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S’il n’y avait que la peau …
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Le doryphore vient peut-être simplement bronzer aussi…:-)
Jolies couleurs et jolis contrastes entre le jaune et le bleu
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C’est ce qui me semblait, le doryphore virait un peu à l’orange…
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Je me cache du soleil, sinon je ressemble à une écrevisse…un bord de mer où on peut apprécier l’air iodé, ici il fait chaud… Heureusement les volets ont été replacés et je peux faire de l’ombre ….San Antonio j’en ai lu il y a très très longtemps, mais la couverture de la photo je ne la reconnais pas :-)…
La plage semble désertée ? mais les deux premières photos donnent envie..
Bises
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Il y avait beaucoup de monde sur la plage, mais je me suis débrouillée pour faire des photos en visant 1 ou 2 m2 déserts. Pour San Antonio, c’est normal que tu ne reconnaisses pas la couverture. Ce n’est pas l’édition originale. On achète progressivement les oeuvres complètes dans la collection « Bouquins ». On a pris 8 tomes
pour l’instant.
Bises,
Mo
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Vous semblez être suréquipés pour la plage, vous êtes vous baignés au moins ?
Cette nuit, des petits plaisantins se sont amusés à déplacer l’arrière de ma voiture d’un mètre. Bon, j’étais mal garé à l’origine, mais là je débordais carrément sur la piste cyclable. Vous croyez à une vengeance des témoins de J. ?
Bonne bronzette, demain s’annonce encore pire même en Bretagne…
😀
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Vous croyez encore à la météo, vous? C’est orageux en ce moment lundi et on a un minable petit 25° à l’ombre des nuages.
Nous nous sommes baignés hier matin, l’eau était à 15°.
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bronzer pour devenir une vieille patate toute ridée ….non merci !
mais que de belles photos ! çà donne envie !
aujourd’hui , restez au frais , çà va chauffer !
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Ah mais, je comprends enfin le doryphore à côté de moi! 😉
Il pleut en Bretagne ce matin. On ne fait rien comme les autres…
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Je me doutais bien que je m’attirerai des commentaires dévalorisants 😦 …
Je les compte pour voir 😉
Ce matin, le ciel est couvert et le tonnerre gronde sur la Bretagne.
On envoie des cartes postales représentant une Ria toute bleue.
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Le mien ne se voulait pas dévalorisant Mo !
Bon orage 🙂
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OK. Je ne te compte pas dans les dévalorisants. 🙂
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Les insectes ne sont pas fous, il n’y a que les êtres humains pour se mettre en plein soleil!
Les San Antonio, j’en ai lus pas mal, et même en bd dans les années 70. J’étais gamine 🙂
Sinon, on a dépassé les 40°c et là ça redescend vite.
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Il y a les insectes à rayures jaunes et noires qui raffolent du soleil et des grosses chaleurs : guêpes et frelons. Brrr… J’en ai toujours eu peur, surtout des frelons. Sinon, sur la plage, il y a des des taons un peu collants et assoiffés…
On n’a pas eu de canicule à proprement parler en Bretagne, une journée un peu chaude, mais on est sagement restés sous le parasol entre 12 et 15H.
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On n’a pas eu le temps de s’habituer à la fraîcheur que c’est remonté illico presto aujourd’hui!
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Les lectures de mon adolescence : San Antonio !!! Sinon, je ne peux plus mettre directement au soleil depuis mon mélanome, ou alors en scaphandrier.
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On a trouvé que ça valait le coup de relire par ordre chronologique. C’est l’évolution de toute une époque. En plus, moi, je n’en avais presque pas lu, je découvre, donc.
C’est dommage pour le scaphandre, c’est bien incommode… 😉
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une année en Vendée c’ést un nuage de coccinelles qui à fondu sur les plagistes!nous sommes revenus rouge à points noirs! ah comme on aimerait revoir des coccinelles dans nos jardins: les premiers haricots sont à laisser sur place pour éviter que les pucerons ne se jettent sur les lignes suivantes!mélanome moi aussi: le soleil en montagne est traître, pas de bronzette sans crême solaire, mais finalement le teint de pèche c’est tendance!!
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Je me suis fait mordiller une année par un nuage de coccinelles. Ce sont de petites carnivores, après tout et quand elles sont en manque de pucerons, elles ont les crocs.
Le soleil est traitre aussi en Bretagne surtout quand il est caché car c’est le premier jour, alors que le ciel était couvert et le vent un peu frais que j’ai attrapé un coup de soleil!
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Ce décor de rêve me donne des envies de relire du San Antonio !
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Le doryphore a sûrement eu vent du menu du pique-nique : frites à gogo 🙂
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le thermomètre affiche tout de même 32° il me semble, à l’ombre du parasol, ce qui ne veut rien dire , sans doute. Mais l’air frais et vivifiant du bord de mer, annule tout. Quant aux San antonio il y a une quantité impressionnante ici, mon compagnon était fan dans sa jeunesse.
Le doryphore a-t-il mangé les coccinelles ? that is my question !
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ouais, bon désolé pour le doryphore mais que voulez-vous ?
fallait bien que j’envoie quelqu’un pour vous surveiller…
J’étais inquiet c’est tout.
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