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On est censé faire les pincements « en vert » en juin :
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étêter les extrémités vertes des jeunes pousses
entre les ongles du pouce et de l’index,
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et la taille « en vert » en juillet :
en coupant ces pousses à 4 ou 5 feuilles avec un sécateur.
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Ces opérations,
couplées à l’éclaircissage des pommes
visent à faire grossir les fruits.
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En fait, j’ai un peu télescopé les tailles,
je suis passée directement à la phase 2, mais l’ai faite à mi-juin, ou presque :
j’avais trouvé les pousses bien développées pour leur âge.
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Les arbres soumis à ce traitement ont été
les pommiers en cordon de l’allée du potager :
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un pommier à grosses pommes dont j’ai perdu le nom, qui donne
des fruits que nous consommons d’octobre à novembre
un pommier « Reinette grise du Canada »
et un 3ème pommier récupéré, qui est très nain
mais donne des pommes de taille moyenne à la peau grenat.
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Voici l’emplacement auquel je taille,
4 à 5 feuilles au-dessus de la naissance de la tige.
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Un autre avantage de la taille en vert
est d’éliminer les extrémités atteintes par des parasites,
comme celles-ci.
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D’ailleurs, après la taille,
je n’ai pas eu besoin de traiter les pommiers contre les parasites,
tout était parti manuellement!
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J’éclaircis les fruits ensuite en laissant 2 ou 3 pommes par bouquet.
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Pour tailler les pommiers en cordon,
je n’ai eu aucun problème, c’est à ma hauteur.
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Pour le Cox orange, j’ai pris le petit escabeau
(si je tombe, le sol est meuble…)
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et comme cela ne suffisait pas à atteindre le sommet,
j’ai utilisé l’ébrancheur.
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Place aux résultats maintenant:
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un des pommiers en cordon
en octobre 2007.
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Comme tous les ans,
J’avais déterré en avril tous les bulbes
de narcisses et tulipes
après leur floraison.
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On est censé attendre que le feuillage soit complètement desséché,
mais comme à ce moment là, le feuillage tombe tout seul,
on se sait plus où sont les bulbes à retirer!
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J’avais mis donc
les plantes en jauge dans des jardinières,
et les avais recouvertes de terre en arrosant un peu pour tasser la terre.
Et c’est ainsi que j’ai attendu la fanaison complète du feuillage.
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C’est le moment en juin ou juillet, quand tout est sec.
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Je prépare :
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des filets qui contenaient cet hiver des oranges, citrons, etc…
et dont j’avais gardé quelques uns
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et des étiquettes écrites au feutre indélébile.
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J’enlève les bulbes du pot
et les étale une journée dans la serre
pour qu’ils finissent de sécher.
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L’intérêt est de permettre de
diviser les paquets de bulbes agglomérés,
d’enlever les bulbes épuisés ou mangés aux limaces
et de mettre de côté les bulbillons apparus cette année
qui ne sont pas encore aptes à fleurir
(si j’ai le courage je les planterai à part
pour qu’ils grossissent 1 an ou 2).
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Et pour finir,
les bulbes sont mis dans des filets avec leurs étiquettes.
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Je replanterai les plus beaux bulbes en octobre
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en attendant la floraison du printemps.
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En fait, je ne sais plus son nom exact.
J’ai vu cette plante sur une offre d’un magazine de jardinage
il y a pas mal d’années.
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Je sais cependant qu’uil s’agit d’un silène
très voisin du silène vulgaire,
dit « silène enflé »
à cause du renflement du calice
à la base des pétales.
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C’est une plante vivace qui se ressème.
Elle m’a un peu déçue au début
avec ses tiges grêles et cassantes, elle ne tient pas debout toute seule.
J’ai essayé de la tuteurer.
Erreur!
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Il faut le laisser faire ce qu’il veut
et se ressemer où il veut.
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Il sait à merveille se mettre en valeur tout seul.
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Il est capable de former une sorte de buisson léger
et un peu prostré
mais c’est essentiellement une plante compagne.
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Il s’appuie légèrement sur les autres plantes sans les étouffer
et les embellit.
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Je pense avoir une variété sauvage.
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Mais le mien est un peu différent de la variété maritime
que j’ai vue à Oléron.
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